Mon art est une symphonie de couleurs et de formes qui transcende les limites de la réalité pour révéler l’essence de l’âme humaine. J’aspire à enchanter les regards, à inspirer la réflexion et à évoquer un lien émotionnel profond avec mes créations.
Chaque toile est un poème silencieux, tissant des souvenirs en couches de couleurs, une étreinte d’éternité.
Collection poignante autour de peluches marquées par la violence, le harcèlement et les guerres. Inspirée de l’expérience personnelle de l’artiste, la série dénonce les abus faits aux enfants et plaide pour leur protection. Certaines œuvres abordent aussi l’écologie (Green Planet, réalisée avec la Fondation Princesse Charlène de Monaco).
Performance immersive où l’artiste se couche dans un cercueil, incarnant l’oubli des créateurs de leur vivant et leur reconnaissance posthume. Une critique sociale et institutionnelle sur la valeur de l’art.
Relecture de la Cène de Léonard de Vinci. La table est abandonnée, les verres renversés, la nourriture en décomposition, une pièce d’argent mise en avant. L’œuvre traite de la trahison, de la décadence morale et de la fragilité humaine.
Installation autour d’une table-monde où sept silhouettes incarnent les péchés capitaux. Le spectateur, invité à s’asseoir au huitième trône, devient partie prenante. L’œuvre questionne les excès humains et notre responsabilité collective.
Installation monumentale recouvrant le sol d’une salle de terres collectées dans les 195 pays du monde. Les frontières tracées s’effacent au passage des spectateurs, tandis que les murs conservent chaque fragment. Une encyclopédie poétique et politique de la planète.
Un mur de 200 téléviseurs vintage diffuse en boucle des insultes discriminatoires. Deux silhouettes hyperréalistes incarnent douleur et résistance. L’installation dénonce le poids des mots et la fracture sociale.
Montagne de sacs-poubelle noirs au centre d’une galerie blanche. Confrontation brutale à nos déchets et à la surconsommation. Le spectateur peut retirer un sac et redonner vie à un objet jeté.
Œuvre-installation sur les murs visibles et invisibles qui cloisonnent nos vies. Une réflexion sur les séparations sociales, politiques et intimes.
Installation évolutive sur 30 jours : des pots suspendus laissent tomber de la peinture sur une toile au sol, créant une œuvre vivante et en transformation. Le public participe au processus.
Exposition radicale où les œuvres vendues sont ensuite brûlées lors d’une cérémonie. Une sépulture symbolique marque la fin de l’art marchandisé. Un manifeste provocateur sur la valeur de l’art.
Parcours en trois étapes – l’ombre, le passage, la lumière – inspiré du cri primal de la naissance. Une expérience multisensorielle où le public traverse douleur et renaissance, et peut exprimer son propre cri.